La réponse 2 et la réponse 3 sont toutes les deux correctes. Les éoliennes, qu’elles soient sur terre ou en mer, produisent de l’électricité lorsque le vent souffle entre 10 et 90 km/h. Le vent entraine les pales de l’éolienne qui font tourner une génératrice pour produire de l’électricité. C’est le même fonctionnement qu’une dynamo de vélo !
Les trois réponses sont correctes ! Si notre électricité est largement bas carbone (grâce au nucléaire et aux énergies renouvelables), ce n’est pas le cas de l’ensemble de l’énergie que nous consommons chaque jour pour nous déplacer, nous chauffer, cuisiner,..
Ainsi, en France, encore 66% de l’énergie consommée est issue des énergies fossiles !
Pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, nous devons donc réduire fortement la place des énergies fossiles (pétrole, gaz, fioul,..) dans notre mix énergétique, et développer les énergies bas carbone.
C’est vrai ! L’énergie produite par un nombre important de parcs éoliens en mer pourrait dépasser l’actuelle consommation mondiale d’électricité d'après L’Agence Internationale de l’Énergie. Et ce sera encore mieux quand on fera tous des économies d’électricité par des petits gestes quotidiens !
C’est une étude d’impact environnemental. Prenons l’exemple du parc éolien en mer de Saint-Nazaire : l’étude d’impact environnemental a été réalisée durant 2 ans avant l’installation du par cet a permis à la maîtrise d’œuvre de prévoir des mesures ERC (Eviter – Réduire – Compenser). Cette étude a réuni l’expertise de 13 bureaux d’études environnementaux. Les études continuent et continueront tout au long de la vie du parc.
C’est vrai ! Les roches qui protègent les câbles et les fondations d’éoliennes deviendront, à terme, de nouveaux habitats où les poissons et les crustacés pourront se cacher. Ce phénomène, constaté dans les parcs éoliens d’Europe du Nord et récemment sur celui du parc éolien en mer de Saint-Nazaire, est appelé l’effet récif !
Ils sont sensibles au bruit ! Pendant les travaux, un réseau de bouées et de sonars permet de détecter la présence des mammifères marins. Si un mammifère marin se trouve trop près du chantier, un signal sonore dit « d’effarouchement » pourra être déclenché afin qu’il s’éloigne le temps des opérations les plus bruyantes. Une fois les opérations terminées, les dauphins et marsouins pourront revenir sans danger !